La journée s'annonçais rude pour ce petit mome,

La journée s'annonçais rude pour ce petit mome, ayant passer sa nuit entre les poubelles de Tanger. C'est un "sans abris" au royame des SDF, il rêve d'un bout de pain et d'un verre de thé, chaud ou pas il s'en fou carrement. C'est le jour de mon embarquement, le port et bruillant, des crilleurs, des mendiants qui réclament des Euros dans le pays du Dirham, des flics qui raquettes, et des clandestins....rien de plus pénible que de supporter le spéctacle de la misère.

Derrière moi, la ville, la vieille que nous appelons médina, la haute "Tanger", séduisante et charmeuse par son passé de ville de fêttards, j'observe une bonne brochette de clandestins "Blaks", de l'afrique noirs, aprés un long voyage à travers le Sahara, viennent s'échouer sur la rive des rêve, le nord du sud. D'ici, tout le monde regarde l'autre rive à 15km. Quand il fait beau, comme ce jour là, on voit Tarifa, l'espoir, le petit bout de terre qui fait rêver des squellettes, bien au fond de leurs tombeaux.

Une seule chose est vrai dans ce pays, il faut partir.